Yémen
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18 octobre :
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A Sabik, nous n'avons pas trouvé d'hôtel ouvert. Il ne nous est resté que la possibilité de dormir sur le toît de l'un d'eux ; le
confort et les sanitaires ont laissé à désirer, mais ça ne nous a rien coûté, et ça fait des souvenirs... |
En quittant Sabik. |
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